Le voleur

On sentait que le gars n’était pas très honnête, qu’il tramait un mauvais coup, qu’il mentait comme il respirait, bien sûr avec des airs de premier communiant et un culot de tous les diables. Dans la nuit du 14 au 15 avril, à trois heures du matin, il a signé son forfait, dans l’obscurité, pour qu’on ne le voie pas, tellement il était peu fier. Comme un voleur… qu’il est.