Le rail pour lutter contre la sécheresse
Face à la sécheresse inédite que connaissent les P.-O., les communistes et les élus communistes du département interviennent…
Face à la sécheresse inédite que connaissent les P.-O., les communistes et les élus communistes du département interviennent…
En cette fin d’année, les quatre élus communistes tirent le signal d’alarme sur la situation sociale dans notre département.
Les élus communistes et apparentés du Conseil départemental ont présenté, lors d’une conférence de presse, les axes de travail pour cette rentrée.
L’abstention qui a marqué les dernières élections, loin d’être un épiphénomène, traduit une tendance qui s’alourdit de scrutin en scrutin. Cette fois un palier a été franchi, traduisant une agonie de la Vème République faisant craindre une crise institutionnelle. Cette grève civique est le reflet d’une vie politique toujours plus étouffée par l’omnipotence du président …
Après le Parti Communiste Réunionnais qui a repris la direction de la Communauté intercommunale du Nord de La Réunion, c’est au tour du Parti d’Huguette Bello (Pour La Réunion) de prendre la présidence du Territoire de la Côte Ouest. Maurice Gironcel (PCR), le maire communiste de Sainte-Suzanne avait reconquis la présidence de la Communauté intercommunale …
Conseil départemental. La collectivité est fortement mobilisée en cette période difficile, Françoise Fiter, Vice-présidente, évoque les dispositions mises en place. Dans le contexte d’épidémie et de confinement, les collectivités locales sont en première ligne. Le Conseil départemental des Pyrénées-Orientales a choisi de s’impliquer fortement pour soutenir les habitants du département. Françoise Fiter explique comment. Que peuvent …
Une institution en ordre de marche face à la crise Lire la suite »

Dimanche soir, la cathédrale d’Elne était pleine à craquer pour le concert du grand orchestre d’harmonie de Rivesaltes dirigé par Michel Torreilles. Le concert était organisé par l’association Point d’orgue au profit de la restauration du grand orgue Puget de 1869.
L’impressionnante formation d’une cinquantaine de musiciens répondait au doigt et à l’œil à la direction énergique et bienveillante de Michel Torreilles. Du beau travail d’harmonie pour des œuvres de compositeurs la plupart d’aujourd’hui, des découvertes, donc, excepté l’éternel Bizet. Des musiques de grandiose amplitude qui n’empêchaient pas l’émotion et le plaisir partagés. La Santa Espina en clôture soulevait une assistance aux anges.
Nicole Gaspon
Fondation Gabriel-Péri. Temps de l’enfant : vraies questions, faux débats. Séance 3 du séminaire L’école et la NationLundi 3 novembre – de 18h à 20h – En visioconférence
http://r.email.gabrielperi.fr/mk/cl/f/sh/1t6Af4OiGsEag9Hc66ywGJqWefOM8Q/O8gTVuz4IeV3
l’USR-CGT 66 appelle l’ensemble des retraité.es à se mobiliser massivement
Jeudi 6 novembre à 10h – Place de la Victoire – Perpignan
Fondation Gabriel-Péri. Une histoire mondiale des Fronts populaires, nouvelle saison des ateliers sur l’histoire du communisme
Vendredi 7 novembre de 14h à 17h – En visioconférence
http://r.email.gabrielperi.fr/mk/cl/f/sh/7nVU1aA2ng9YlHRLwcjtMtP7P0wCEjK/yiS_eB1tvHKr
UPTC. Les femmes dans la Commune, conférence de Jérôme Quaretti
Vendredi 14 novembre à 18h30 – Maison des communistes, 44 avenue de Prades – Perpignan
Remue-méninge. Les Cinq leçons sur la psychanalyse de Freud animé par Patrick Venturini, psychiatre perpignanais, et Jean Malik Lemaire
Mardi 18 novembre à 18h – Maison des communistes, 44 avenue de Prades – Perpignan
Rassemblement à l’appel du Collectif « Pour une histoire franco-algérienne non falsifiée »
Vendredi 17 octobre à 17h30 – Passerelle de l’Archipel – Perpignan.
Ciné débat « Ici on noie les Algériens » de Yasmina Adi
Vendredi 17 octobre à 18h30 – Cinéma Le Castillet,
1 boulevard Wilson – Perpignan.
Le festival « Les Traversées Walter Benjamin »
Vendredi 17 octobre à 18h – Cinéma Le Lido, 174 avenue du Général de Gaulle – Prades.
Samedi 18 octobre à 9h30 – Salle du Foirail – Prades.
Dimanche 19 octobre à 10h30 – Salle du Foirail – Prades.

D’abord, de la colère et une profonde tristesse à l’annonce de la mort de Marc Severac lorsque celles et ceux qui le connaissaient l’ont appris.
La colère ? Ce n’était pas son truc, d’ailleurs rares doivent être ceux qui un jour l’y ont vu. Ce qui n’empêchait pas notre camarade d’être sans concession idéologique.
L’homme était un militant, attaché au PCF et à la CGT, ancien d’EDF et à ce titre ancien secrétaire général du syndicat CGT Energie66, adjoint au maire d’Argelès Pierre Aylagas qui l’a qualifié de « pilier de son équipe ». Pilier voire même seconde ligne il était taillé comme, mais malgré un gabarit impressionnant Marco était plus une sorte de grand nounours que l’on n’imaginait pas pouvoir faire de mal à une mouche. Il était aussi un modèle de discrétion et d’humilité une petite main efficace et apprécié de tous. Il a œuvré, sans jamais décevoir, dans toutes les tâches, syndicales et politiques, qui lui ont été confiées. Pas de cris, pas d’injonctions, pas de reproches mais la manière douce de te convaincre de faire un truc lié à ta responsabilité.
À la fédération du PCF il était présent au secrétariat de l’Association départementale des Élus Communistes et Républicains et du CIDEFE son organisme de formation, Marc en était une cheville ouvrière efficace sous divers présidents.
Humaniste et Humain, Marco était un militant communiste discret mais ô combien utile qui aimait la fête de l’Huma, celle du Travailleur Catalan, les réunions à Paris et … les gueuletons. Il ne crachait pas dessus, le gourmandas ! Enfin et par-dessus tout notre camarade adorait sa famille, sa compagne, sa fille, ses garçons, il en était fier et nous en parlait souvent dans l’intimité car il était aussi pudique.
Nous pensons à eux, ses proches, dans la douleur aujourd’hui, nous partageons leur peine et les entourons de notre affection. Marc n’a pas marqué qu’Argelès, il laisse un excellent souvenir partout où il est passé nous ne l’oublierons pas.
Nicolas Garcia
UPTC. Regard critique sur les errements de la politique européenne à l’égard des États-Unis, et du « Sud global » et de la Russie. Conférence de Francis WurtzVendredi 10 octobre à 18h30 – Travailleur Catalan, 44 avenue de Prades à Perpignan
Socialisme, pas la guerre, pour une Europe de paix ». Rencontre avec le journaliste allemand Jörg Kronauer
Samedi 11 octobre à 10h30 – «. Maison des communistes (salle Philippe Galano), 44 avenue de Prades – Perpignan
Conférence : Regards sur la justice par François Molins
Lundi 13 octobre à 18h30 –. Théâtre de L’Étang, 6 allée des Arts et des Lettres – Saint-Estève
Fondation Gabriel-Péri. Socialisme et éducation au XXe siècle
Mardi 14 octobre de 18h-20h –. En visio (http://r.email.gabrielperi.fr/mk/cl/f/sh/7nVU1aA2ng20nBQ82Lo5DS7sjYx3GxG/-q_dBMAb54Ah)
Journée d’étude sur le retour (1945)
Mercredi 15 octobre à 14h – Maison du Combattant, 4 rue François Rabelais – Perpignan
Rassemblement à l’appel du Collectif « Pour une histoire franco-algérienne non falsifiée »
Vendredi 17 octobre à 17h30 – Passerelle de l’Archipel – Perpignan
Ciné débat « Ici on noie les Algériens » de Yasmina Adi
Vendredi 17 octobre à 18h30 – Cinéma Le Castillet, 1 boulevard Wilson – Perpignan
Le festival « Les Traversées Walter Benjamin »
Vendredi 17 octobre à 18h – Cinéma Le Lido, 174 avenue du Général de Gaulle – Prades
Samedi 18 octobre à 9h30 – Salle du Foirail – Prades
Dimanche 19 octobre à 10h30 – Salle du Foirail – Prades
Fondation Gabriel-Péri. Une histoire mondiale des Fronts populaires, nouvelle saison des ateliers sur l’histoire du communisme Vendredi 7 novembre de 14h à 17h – En visio (http://r.email.gabrielperi.fr/mk/cl/f/sh/7nVU1aA2ng9YlHRLwcjtMtP7P0wCEjK/yiS_eB1tvHKr

Ce samedi 27 septembre, pour le quatrième automne consécutif, le conseil départemental a organisé la fête des associations. Au Palais des Rois de Majorque. Comme son nom l’indique, Valeurs en fête, il s’agissait de célébrer les valeurs de solidarité, de partage et de citoyenneté portées par les associations, moteur essentiel du lien social. Cent cinquante associations étaient présentes, humanitaires, sportives, culturelles, ludiques, dont vingt-deux associations environnementales, l’accent étant mis cette année sur l’écologie. Comme l’a rappelé la présidente du conseil départemental, Hermeline Malherbe, l’objectif de cette fête est multiple : créer des liens entre associations, informer, accueillir les nouveaux arrivants, découvrir la culture catalane. Les visiteurs ont ainsi pu découvrir ou redécouvrir les Castells, la sardane, une Cobla. Une démonstration de Qi-Gong pour les personnes atteintes de Parkinson a ouvert la journée, suivie d’une conférence de FFREEE sur le rôle de l’association dans la transmission de la mémoire de l’exil des républicains espagnols, en lien avec les migrants d’aujourd’hui. Les enfants ont été particulièrement gâtés cette année avec des jeux et des spectacles tout au long de la journée. Cerise inespérée sur le gâteau, le beau temps a été de la partie !
Anne-Marie Delcamp
25e Écofestival « Vallespir Terres Vivantes ». Les femmes au cœur des luttes écologiques (Conférence/Débat. Les ressources en eau pour le futur des P.-O. – Caroline Figuère)
Vendredi 3 octobre à 19h – Maison de l’eau – Le Boulou.
9e édition du Festival Blues
Vendredi 3 octobre et samedi 4 octobre à 20h30 – Théâtre de L’Étang, 6 allée des Arts et des Lettres – Saint-Estève.
25e Écofestival « Vallespir Terres Vivantes ». Les femmes au cœur des luttes écologiques (concert Julie Constantine – Chorale féministe éphémère 1e partie)
Samedi 4 octobre à 19h – Théâtre de Verdure (en cas de pluie Mas Nogarède) – Céret.
Le festival « Les Traversées Walter Benjamin »
Vendredi 17 octobre à 18h – Cinéma Le Lido, 174 avenue du Général De Gaule – Prades.
Samedi 18 octobre à 9h30 – Salle du Foirail – Prades.
Dimanche 19 octobre à 10h30 – Salle du Foirail – Prades.

Georges Bartoli a reçu la médaille de Chevalier de l’ordre des arts et lettres.
À l’issue de la présentation de saison du Mémorial avait lieu une cérémonie aussi réjouissante qu’émouvante, l’ami Georges Bartoli s’est vu remettre des mains de Céline Sala-Pons la médaille de Chevalier de l’ordre des arts et lettres.
Il y avait aussi Françoise Fiter, l’amie de toujours, qui rappelait les nombreuses qualités du récipiendaire, son humour, sa propension à la rébellion, son engagement inaliénable au service de la mémoire du désastre de la guerre d’Espagne, de celle des exilés, dont son oncle Josep.
Céline Sala-Pons évoquait le parcours de Georges, de l’enfant dans les rues de Saint-Jacques au photo reporter sur les terrains de guerre. Elle rappelait son engagement au sein du Mémorial, seul endroit, pour lui, pour recevoir sa distinction.
Georges Bartoli tenait à partager une médaille qu’il jugeait trop grande pour lui avec « plein de monde » : sa famille, tous les « vaincus magnifiques de la guerre d’Espagne, toutes celles et ceux qui, aujourd’hui sont contraints de tout quitter pour survivre et non pour tout remplacer… »
Toutes les félicitations du Travailleur Catalan (où Georges a œuvré) au nouveau Chevalier des arts et lettres !
N. G.