en català / Par C C
/ 8 octobre 2025 8 octobre 2025
Capítol 1 (6)
Ja feia anys que ell havia triat aquell camí. Havia deixat la idea d’una feina fixa. Se guanyava la vida fent activitats d’escriptura, possibles treballant a casa, traduccions, articles diversos, fins i tot novel·les, encara que aquestes fossin de molt poc interès financer. Havia conservat relacions amistoses en el món de la premsa, i de temps en temps l’hi demanaven un reportatge. Posava aleshores la polsera al dia, i durant el temps de la feina que devia fer vivia com tothom, al mig de la gent.
en català / Par C C
/ 24 septembre 2025 24 septembre 2025
Capítol 1 (4)
Malgrat tot, la majoria de la gent va apreciar la facilitat que duia la cosa, i fins i tot molts se sentíem mes lliures. A mes, el sistema se va anar millorant, i finalment se va posar de lloc una utilització mes pertinent.
en català / Par C C
/ 17 septembre 2025 17 septembre 2025
Capítol 1 (2)
Al cap d’un temps va semblar que la Covid ja havia desaparegut, i només va quedar la descoberta que finalment es podia exigir moltes coses, i força extrems, i que la gent ho acceptava, si es tractava de salut. …
en català / Par C C
/ 10 septembre 2025 10 septembre 2025
Capítol 1 (2)
Al cap d’un temps va semblar que la Covid ja havia desaparegut, i només va quedar la descoberta que finalment es podia exigir moltes coses, i força extrems, i que la gent ho acceptava, si es tractava de salut. …
Dins del pròxim “Travailleur catalan”, a l’inici de setembre, l’espai dedicat a la llengua catalana canvia de forma. En lloc de la tradicional “crònica”, s’encetarà una novel·la, que anirà seguint cada setmana.
en català / Par C C
/ 16 juillet 2025 16 juillet 2025
– Cal tornar a escoltar les divertides cançons de La Trinca. És el millor homenatge que podem fer a Toni Cruz, un dels seus fundadors que ha mort aquesta setmana passada.
– Quins bonics records amb La Trinca ! Toni Cruz, Josep Maria Mainat i Miquel Àngel Pasqual, un trio musical que ens va meravellar als anys 70 i 80.
en català / Par C C
/ 9 juillet 2025 9 juillet 2025
– Amb les nits d’estiu caniculars hi ha una beguda calenta que passa bé: un rom cremat, tot escoltant havaneres.
– És fàcil de fer, rom, grans de cafè, un xic de canella, pell de llimona, deixar-ho cremar deu minuts tot remenant. És molt tradicional l’estiu a Catalunya Sud, a les platges de la Costa Brava amb les cantades d’havaneres.
Conférence avec Francois Molins proposée par L’A.L.E.C. (Laïcité en Conflent) Samedi 20 décembre à 17h30 – Salle du Pessèbre, rue San Juan de Porto-Rico – Prades.
La librairie La Libambulle sera au Marché d’hiver de Cal Mateu Dimanche 21 décembre de 10h à 13h – Musée de Cerdagne, Ferme Cal Mateu – Sainte-Léocadie.
D’un côté, l’Association des lecteurs de Claude Simon, de l’autre une ayant droit visiblement peu partageuse.
La littérature n’est pas à l’abri des démêlés judiciaires. C’est ainsi que le nom de Claude Simon, Prix Nobel de littérature 1985, dont les racines avec les P.-O. sont connues, s’est trouvé récemment au cœur d’une affaire de justice. Depuis 2018, à la suite du décès de Réa Simon, veuve du romancier et photographe, Mireille Calle-Gruber, professeur émérite, exerce les fonctions d’ayant droit moral pour l’œuvre de Claude Simon. Il lui appartient de « veiller à l’intégrité de cette œuvre, notamment en accordant ou refusant l’autorisation de la reproduire en totalité ou en partie. »
Or, Mireille-Calle Gruber entretient des relations très conflictuelles avec l’Association des lecteurs de Claude Simon créée en 2001 avec le soutien de l’auteur, dont l’objet est de contribuer au rayonnement de son œuvre. L’association reproche à Mireille Calle-Gruber « une démarche d’obstruction » c’est-à-dire des refus répétés d’autoriser reproductions de photos ou autres écrits, « en contradiction totale avec les pratiques antérieures amicales et généreuses de Claude puis de Réa Simon, les précédents ayants droit. »
L’association a porté l’affaire en justice qui, en première instance comme en appel (Cour d’appel de Paris 12 novembre 2025), a donné raison à l’association et condamné Mireille Calle-Gruber pour « usage notoirement abusif de son droit moral sur l’œuvre de Claude Simon. »
Une affaire qui rappelle que « le droit moral sur une œuvre ne saurait être soumis à l’arbitraire de son détenteur » conclut dans un communiqué l’Association des Lecteurs de Claude Simon.
Conférence de la Fondation Gabriel-Péri. Les oubliées du Front populaire. Vendredi 12 décembre de 14h à 17h – En visioconférence (http://r.email.gabrielperi.fr/mk/cl/f/sh/1t6Af4OiGsEag9Hc66ywGJqWefOM8Q/9eAzMwB_2yg2)
Rassemblement pour gagner des avancées pour les AESH Mardi 16 décembre de 12h à 14h – Devant la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN), 45 avenue Jean-Giraudoux – Perpignan.
Robert Ginestes, enseignant au Collège d’Elne, défenseur de la laïcité et des valeurs du PCF, s’était activement engagé dans la vie politique et municipale. En 1960, il adhère aux Jeunesses communistes, en 1961 à l’Union des étudiants communistes puis au PCF, motivé par la lutte pour la paix en Algérie. Il participe aux manifestations et gardes nocturnes du siège de la CGT et des locaux du PCF menacés par l’OAS. En 1966, il adhère à l’Union de la jeunesse agricole de France et jusqu’en 1970, il sera membre de la direction du PCF des P.-O. À Elne, il est trésorier de la cellule des communistes de 1975 à 2023, organisant rifles, fêtes du Travailleur Catalan et autres initiatives financières utiles à la lutte. Robert Ginestes a été élu municipal sur les listes d’union de la gauche et communiste conduite par Narcisse Planas (1965/1995) puis par Nicolas Garcia (2001/2014). En 1979, il crée, avec son épouse Noëlle, le comité d’Elne du Secours populaire français, faisant vivre une solidarité sans frontières et inconditionnelle pour les plus démunis, fidèle à la devise de l’association et à sa conception d’une vie meilleure.
À notre camarade Noëlle, ses filles Agnès et Anne, à sa famille, le Travailleur Catalan et les communistes d’Elne, expriment leur soutien fraternel.
Assemblée Générale du Comité des Usagers de la Ligne du Train Jaune Samedi 6 décembre à 9h – Salle polyvalente, Maison des jeunes, place de la Victoire – Olette.
10 ans de rétablissement des contrôles aux frontières intérieures. 10 ans de violations des droits Samedi 6 décembre de 11h à 13h – Rassemblement au niveau du poste de douane – Le Perthus. à 14h30 – Ouverture de l’espace associatif et présentation de l’exposition de la Cimade, « Refuser les violences aux frontières ». Espace Gavroche, cinéma Vautier, 13 boulevard Voltaire – Elne. à 16h – Projection du film Outrepasser d’Elsa Putelat et Nicolas Dupuis (2025) en présence de la réalisatrice à 17h30 – Table ronde : violences aux frontières, nouveau pacte européwen sur l’immigration et ses conséquences, quelles solidarités construire ?
La Syrie, de la préhistoire à l’histoire, conférence de Tarek Kuteni Lundi 8 décembre à 18h30 – Théâtre de L’Étang, 6 allée des Arts et des Lettres – Saint-Estève.
Notre camarade Louis Torrent est décédé mercredi 12 novembre, il avait 103 ans. Depuis quelques années, il vivait à la maison de retraite de Sorède, après des décennies passées à Saint-André, commune qui l’avait honoré lors de ses 100 ans en inaugurant la place de la solidarité, en présence de nombreux amis et camarades. Il était un fidèle lecteur du Travailleur Catalan et ce jusqu’à son admission en EHPAD. Communiste depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, il a longtemps milité avec notre regretté camarade, Henri Costa. C’est entouré de ses enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants, en présence d’une foule nombreuse, de ses amis et camarades des Albères, que la commune de Saint-André lui a rendu un vibrant hommage, ce vendredi 21 novembre, place de la mairie. Après les propos en catalan de l’ancien maire Francis Manent, qui partageait avec lui cet amour de la langue catalane, le maire Samuel Moli a rendu un hommage appuyé « à cet homme qui refusait les honneurs et qui en méritait tant ».
Et de souligner : « cétait un homme humble, honnête qui a forgé, avec d’autres, l’identité de notre village ». Louis Torrent était un militant au sens noble du terme, a poursuivi l’édile municipal : « militant au Parti communiste parce qu’il en gardait le sens premier, l’égalité et la fin des privilèges, militant syndical pour aider les travailleurs, militant et administrateur à la cave coopérative, au crédit agricole, militant au Secours populaire, au centre d’action sociale communal. Ce sens du partage et de la générosité était en lui, sa raison d’être ». Et de conclure : « Louis nous a quittés à 103 ans, 103 ans d’une existence dirigée vers l’autre, sans relâche il a défendu des idées, une morale, un sens de la vie qu’il a mis en pratique… ». Le Travailleur Catalan et la fédération du Parti communiste français des P.-O. présentent leurs condoléances à sa famille et ses proches.