
Chez les enseignants, le mécontentement est grand. La question des moyens, des salaires et des postes s’impose, au centre des revendications. Mais il y a aussi le mépris dans lequel le gouvernement les tient, le sens du métier lui-même et les réformes, lycées et collèges, qui ne passent pas. Pour la réussite des élèves, pour une Éducation nationale apaisée, reconnue et efficace, à l’appel de Solidaires, de la FSU et de la CGT, ils étaient trois cents manifestants dans les rues de Perpignan, le jeudi 23 septembre.