Ma douce bien aimée

En souvenir de mon épouse décédée le dix-neuf janvier mille neuf cent cinquante-trois à Saint-Germé

Ma femme ma douce bien-aimée Comment pourrais-je jamais t’oublier Tu m’avais donné pendant ce temps trop court Tout le bonheur que l’on peut demander à l’amour Tu m’avais donné ces quatre enfants Dont nous étions fiers, ils étaient charmants Lorsque parfois j’étais en colère Plus forte que moi, tu savais te taire Sur ta dernière …

En souvenir de mon épouse décédée le dix-neuf janvier mille neuf cent cinquante-trois à Saint-Germé Lire la suite »