Deux humeurs pour le prix d’une !
J’ai une humeur très partagée au moment où j’écris ces lignes, limite schizophrène, aïe, poubret ! Les temps que nous vivons y sont sûrement pour quelque chose. Mais la seule solution est de faire avec ; c’est sans doute le prix à payer à un réel qui prend un malin plaisir à nous tournebouler la tronche pour qu’on perde un peu de notre lucidité et sans doute aussi et accessoirement de nos espoirs.