La passion démocratique

Nous avons rencontré Édith Pugnet, maire de Cabestany. 
Cabestany, c’est une grosse épine dans le pied de la droite, de l’extrême droite et de quelques libéraux ambitieux. Une épine de 10 000 habitants. Et ce n’est pas qu’une question de territoire. C’est politique. Ainsi, à l’instar d’autres villes ou villages comme Elne ou Alénya, l’intérêt commun est toujours placé au centre, les valeurs humaines de solidarité et de mixité ne cessent de convaincre, les services publics restent essentiels, l’écologie avance et la culture et le sport sont accessibles à tous. Les citoyens le vivent et le disent. Ajoutons à ces principes l’attachement viscéral à la démocratie, à la participation du plus grand nombre aux affaires et aux projets. Les maires successifs n’ont jamais failli à leurs engagements. Ni Jean Vila, président du comité de soutien, ni Édith Pugnet, maire sortante et pour la première fois candidate à la tête d’une liste où de nombreux citoyens non « engagés » viendront prendre place.