La colère et le biscuit

Ils sont « colère ». La politique de l’offre leur allait si bien. Avec la dissolution de l’Assemblée nationale, tout semble s’effondrer pour les patrons. Avant, la fiscalité était réduite, les aides aux entreprises florissaient, le droit du travail avait été assoupli, le pays était attractif. Une crise politique plus tard, tout «s’asboudrègue », comme on dit en franco-catalan. Et donc, il faut un réveil brutal pour tenter d’arracher quelques petites, ou moins petites, choses. Les grands patrons, ceux du CAC 40, sont en tête de gondole, ils grondent. Avec des arguments de poids : le pognon. …