Chants de Noël et gospels
En attendant Noël, à Banyuls-sur-Mer, « Les chants de si de la » ont célébré l’Avent avec chants sacrés, extraits d’opéras et gospels.
En attendant Noël, à Banyuls-sur-Mer, « Les chants de si de la » ont célébré l’Avent avec chants sacrés, extraits d’opéras et gospels.
Marie-Monique Robin recevra l’ordre national du mérite lors d’une cérémonie exceptionnelle à Céret, en soutien à la biodiversité et aux luttes environnementales
Samedi 19 avril à 15h – Théâtre de Verdure à Céret.
La Marche pour les Sahraouis passe à Perpignan
Mercredi 23 avril à 19h – Miam, 3 rue de la Petite Monnaie à Perpignan.
Jeudi 24 avril à 12h - Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Vendredi 25 avril à 12h - Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Hommage à Francine Sabaté, résistante
Vendredi 25 avril à 16h – Hall de la préfecture, quai Sadi-Carnot à Perpignan.
UPTC. Le journalisme dans tous ses états, conférence d'Alain Le Gouguec
Vendredi 25 avril à 18h30 - Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Festival des luttes de la CGT
Samedi 17 mai à partir de 16h – Espace Salitar à Elne.
Objets, personnages, structures singulières, étonnantes qui semblent vouloir s’animer, exister, agir et s’émanciper. Certaines de ces sculptures interrogent la raison, questionnent et, quand on prend le temps de l’examen attentif et du regard inquisiteur, s’agitent. Enfin, il semble qu’elles s’agitent. Nanardo de Leonardo les présente, à Céret, à l’espace « Art Sant Roch » jusqu’à l’automne. Il leur a attribué un nom et une identité. L’harmonie des pièces qui les composent leur donne une vraie crédibilité psychédélique.
M. M.
Le 3 avril, entre midi et 14h, au pied du Castillet, 200 manifestants sont venus rappeler aux décideurs leurs colères et leurs revendications. Ils ont, par la même occasion, distribué aux passants, nombreux, les tracts expliquant leur initiative. Un gros bataillon de la CGT, Solidaires et la FSU avaient appelé les leurs. Julien Berthélémy, de la CGT, prenait quelques instants la parole. Il rappelait l’exigence de l’abrogation de la loi « retraite », l’exigence d’embauches massives pour répondre aux besoins et des augmentations de salaire. Il fustigeait ensuite le retrait des fameux « 10 % ! » en moins en cas d’absence maladie et n’oubliait pas, dans le contexte, de dénoncer les milliards prévus pour préparer la guerre.
Fraliberthé 66. Vente de thés et d’infusions
Vendredi 11 avril de 16h à 18h – Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan
Rassemblement pour la défense de l’État de droit
Samedi 12 avril à 11h – Rassemblement devant le Palais de Justice de Perpignan
Marie-Monique Robin recevra l’ordre national du mérite lors d’une cérémonie exceptionnelle à Céret, en soutien à la biodiversité et aux luttes environnementales
Samedi 19 avril à 15h – Théâtre de Verdure à Céret
La Marche pour les Sahraouis passe à Perpignan
Mercredi 23 avril à 19h – Miam, 3 rue de la Petite Monnaie à Perpignan
Jeudi 24 avril à 12h – Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan
Vendredi 25 avril à 12h – Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan
Conférence de la Fondation Gabriel-Péri. 80e anniversaire de la fin des camps : survivre et témoigner
Lundi 28 avril de 19h à 21h – en visio (renseignement → 66.pcf.fr/131567)
Festival des luttes de la CGT
Samedi 17 mai à partir de 16h – Espace Salitar à Elne
Canigou-Conflent-Santé. Assemblée générale ordinaire
Vendredi 4 avril à 18h30 – Salle d’accueil (derrière Intermarché) à Vernet-les-Bains.
Café philo de la Forge citoyenne. « Faire Place au Vivant Dans Nos Habitudes »
Mardi 8 avril à 18h – Atelier de L’Entonnoir, 1 rue des Marchands à Prades.
Réunion publique de Canigou-Conflent-Santé
Mercredi 9 avril à 18h30 – Salle des fêtes, route de Fuilla à Sahorre.
Comme chaque année, samedi 22 mars avait lieu, autour de la stèle qui lui est dédiée à Perpignan, la commémoration de la mémoire de Rose Blanc.
La cérémonie était organisée conjointement par Femmes Solidaires et l’AFMD (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation). En présence des élu.e.s, Hermeline Malherbe, Remy Lacapère pour le département, Patrick Cases et Christine Gas pour la région, Nicole Rey rappelait le parcours militant et combattant de Rose Blanc, son implication au Front populaire, sa participation en Espagne à la lutte contre Franco et enfin son engagement dans la Résistance au sein du prestigieux réseau Politzer.
Engagement féministe, également, l’action de Rose est emblématique du rôle des femmes dans la Résistance. Un destin brisé, déportée à Auschwitz, Rose y est morte à seulement 24 ans. Évoquant les combats de Rose, Nicole Rey soulignait qu’ils prennent aujourd’hui une résonance particulière, les idées d’extrême droite, de haine, d’exclusion, de racisme, de machisme reprennent droit de cité, raison de plus pour se souvenir de Rose. Le dépôt de gerbes et le chant des Marais, entonné par les très nombreux participants, laissaient le temps à la manifestation internationale contre le fascisme et le racisme d’arriver jusqu’à la stèle. Où elle était accueillie avec enthousiasme. Nicole Rey disait aux manifestants son émotion à les voir aussi nombreux rendre hommage à Rosette, et ajoutait : « la manif’ a pour slogan : Contre le fascisme, contre le racisme, deux fléaux contre lesquels Rose Blanc avait mené ses luttes cardinales. Aujourd’hui, ne nous contentons pas de répéter de façon incantatoire « Plus jamais ça ! », menons à notre tour tous les combats qu’elle a menés qui, seuls, sont capables de faire obstacle à un possible et imminent retournement de l’Histoire.
N. G.
L’antenne Prades Conflent de la Ligue contre le cancer propose
une matinée « Mars bleu » – Parcours cycliste ou balade pédestre.« , Samedi 29 mars de 9h30 à 12h, départ et arrivée à l’hôpital de Prades. Participation 5 € au bénéfice de La Ligue.
Le « Pas de Porte » invite le poète Eduard Escoffet, Samedi 29 mars à 16h – Auditorium du musée d’Art moderne à Céret.
Lancement de l’initiative « Vive le train »», Lundi 31 mars à 7h30 – dans différents ronds-points du département.
Train-en-Têt. Rassemblement pour interpeler le préfet», Mercredi 2 avril à 13h30 – Devant la salle du Foirail à Prades.
Rencontre avec Malika Berak», Jeudi 3 avril à 18h – L’Alchimie, 3 rue de l’Hospice à Prades.
Les coupes budgétaires sur le Pass Culture et le gel du financement des sorties culturelles dans les collèges et lycées jusqu’en juin 2025, inquiètent les établissements scolaires et les professionnels de la culture.
Toutes les époques connaissent leur lot d’angoisses, mais aujourd’hui, les faits anxiogènes s’accumulent : guerres, planète en danger, difficultés pour se loger, trouver un travail, etc. Ce contexte induit un pessimisme et une difficulté à se projeter dans l’avenir, notamment chez les jeunes. L’accès à la culture pour tous est un moyen de redonner désir, envie, bonheur et d’ouvrir à d’autres possibles. On entend souvent dire que les jeunes ne s’intéressent pas à la culture et passent leur temps sur les réseaux sociaux. Pourtant, le dispositif du Pass Culture comporte une part individuelle qui permet aux jeunes d’acheter des livres, d’aller au théâtre ou d’assister à des concerts. Et voici que le gouvernement a décidé de supprimer le Pass Culture pour les moins de 17 ans et de le réduire de moitié pour les jeunes de 18 ans.
Le budget alloué à la part collective rogné !
Nos enseignants savent que, par le biais de la culture, on crée des moments de joie et d’émancipation. Néanmoins, les obstacles à leur engagement se multiplient. La part collective du Pass Culture permet aux établissements scolaires d’organiser des activités d’éducation culturelle, des sorties (musées, expositions) ou encore de faire venir des artistes dans les établissements. À l’origine, ce dispositif visait à établir des ponts vers la culture pour les élèves issus de milieux modestes.
Or, le gouvernement a décidé de la réduire brutalement : son budget passe de 97 millions d’euros en 2024 à 72 millions.
Au niveau local, le SYM, syndicat mixte, qui s’occupe de la restauration, de l’animation et du transport, a supprimé le financement de deux transports scolaires, n’en laissant plus qu’un par classe pour les sorties culturelles. Cette restriction budgétaire est reconduite pour l’année 2025, entraînant l’annulation de nombreux projets qui ne pourront être financés.
La disparition de ces aides pour notre jeunesse (et pour le monde artistique, qui en bénéficiait également in fine) restreint fortement l’accès à la culture, pourtant essentielle à la socialisation des jeunes générations dans un monde en pleine mutation.
Nadine Pons