La venue de la ministre et après ?
Jeudi 17 octobre, une pluie de journalistes, de personnalités du monde agricole et d’élus s’abattait sur notre département.
Jeudi 17 octobre, une pluie de journalistes, de personnalités du monde agricole et d’élus s’abattait sur notre département.
Au Clap Ciné un film à ne pas rater, « On Ira », suivi d’un débat intense sur la fin de vie.
Parmi tous les films actuels abordant le sujet de la fin de vie (voir TC 4063) celui-ci est le seul à l’aborder de manière frontale, ouvertement politique, en défendant clairement la possibilité pour chacun de choisir sa fin.
Déjà autrice de la web série Fleur bleue, où en format court, elle développait un humour mordant autour des rencontres amoureuses, dans ce premier long métrage la réalisatrice Enya Baroux déroule un road movie qui aborde la fin de vie avec beaucoup d’humour, de drôlerie et de tendresse : Marie, 80 ans, une grand-mère fantasque, en a ras le bol de son cancer. Elle décide de partir en Suisse pour mettre fin à ses jours. Au moment de l’annoncer à Bruno, son fils irresponsable, et Anna, sa petite-fille en crise d’ado, elle panique et invente un énorme mensonge. Prétextant un mystérieux héritage à aller chercher dans une banque helvétique, elle leur propose de faire le voyage tous ensemble. Complice involontaire de cette mascarade, Rudy, un aide-soignant rencontré la veille, va prendre le volant du camping car familial, et les accompagner dans un voyage inattendu… Il va, à son corps défendant, servir de personnage transitionnel pour rétablir une communication passablement distendue, voire inexistante, entre les trois âges de cette famille réduite (ado, père et grand-mère). C’est sérieux, intelligent, pudique et drôle, un petit bijou. Ce film a fait l’objet d’une séance débat au Clap Ciné le 6 avril, animée par l’association Ultime Liberté, débat aussi riche que le film où différentes opinions ou témoignages se sont exprimés : législations en vigueur ou en gestation, soins palliatifs, directives anticipées… Il fut également souligné un parallèle avec le combat d’il y a 50 ans pour le droit à l’avortement. Sans doute plusieurs explications à cela : générationnelle d’abord, car ce sont souvent les mêmes, devenu(e)s simplement plus âgé(e)s, qui se mobilisent pour une question touchant également à l’intime, à la vie et à la mort, à l’urgence pour les personnes concernées (grossesse non désirée ou souffrances annoncées ne peuvent attendre les calendes grecques), et à la liberté pour chacune et chacun de disposer de son corps et de sa vie… avec tous les gardes fous qui s’imposent comme il fut souligné à juste titre. Un film à voir qui ne manquera pas de susciter de riches réflexions, intérieures ou entre amis.
Clément Riot
USR CGT 66. Projection débat sur la « reconquête de la Sécurité sociale
Lundi 12 mai à partir de 9h – Espace cheminot Chefdebien, rue des Usines à Perpignan.
Train-en-Têt. Assemblée générale ordinaire
Samedi 17 mai à 9h30 – Salle Gelcen, rue de la Basse à Prades.
Festival des luttes de la CGT
Samedi 17 mai à partir de 16h – Espace Salitar à Elne.
10h – Place de la mairie à Céret
10h – Place de la mairie à Saint-Laurent-de-Cerdans
10h30 – Place de Catalogne à Perpignan
10h30 – Place de l’Appel du 18 juin à Prades
10h30 – Hôtel de Ville à Argelès-sur-Mer
10h30 – Devant la mairie à Estagel
11h – Plateau des Garaffes à Elne
11h – Place de la mairie à Alénya
Nous apprenons que l’État et la CCI projettent d’organiser des assises de la logistique.
Preuve si l’en est que les campagnes engagées, par la fédération du PCF et de la coopérative des Élus CRC66, dès 2024 sur la reconquête du transport ferroviaire de marchandises dans notre département, puis en 2025 pour l’amélioration du transport du quotidien des voyageurs par la route et le rail sont au cœur des problématiques de développement Économique et environnemental dans les P.-O.
Deux grands absents toutefois. Les organisations syndicales de salariés et les associations d’usagers ne sont pour l’instant pas conviées. Une erreur à rectifier de toute urgence.
Hommage à Francine Sabaté, résistante
Vendredi 25 avril à 16h – Hall de la préfecture, quai Sadi-Carnot à Perpignan.
UPTC. Le journalisme dans tous ses états, conférence d’Alain Le Gouguec
Vendredi 25 avril à 18h30 – Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Les Rendez-Vous de Saint-Estève. L’homme et l’animal : du gigot au canapé
Lundi 28 avril à 18h30 – Théâtre de l’Étang à Saint-Estève. La région à vos côtés
Mardi 29 avril à 10h – Marché de Prades.
Remue-méninges. La révolution de la physique au XXe siècle
Mardi 29 avril à 18h – Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Festival des luttes de la CGT
Samedi 17 mai à partir de 16h – Espace Salitar à Elne.
Marie-Monique Robin recevra l’ordre national du mérite lors d’une cérémonie exceptionnelle à Céret, en soutien à la biodiversité et aux luttes environnementales
Samedi 19 avril à 15h – Théâtre de Verdure à Céret.
La Marche pour les Sahraouis passe à Perpignan
Mercredi 23 avril à 19h – Miam, 3 rue de la Petite Monnaie à Perpignan.
Jeudi 24 avril à 12h - Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Vendredi 25 avril à 12h - Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Hommage à Francine Sabaté, résistante
Vendredi 25 avril à 16h – Hall de la préfecture, quai Sadi-Carnot à Perpignan.
UPTC. Le journalisme dans tous ses états, conférence d'Alain Le Gouguec
Vendredi 25 avril à 18h30 - Maison des communistes, 44 avenue de Prades à Perpignan.
Festival des luttes de la CGT
Samedi 17 mai à partir de 16h – Espace Salitar à Elne.
Objets, personnages, structures singulières, étonnantes qui semblent vouloir s’animer, exister, agir et s’émanciper. Certaines de ces sculptures interrogent la raison, questionnent et, quand on prend le temps de l’examen attentif et du regard inquisiteur, s’agitent. Enfin, il semble qu’elles s’agitent. Nanardo de Leonardo les présente, à Céret, à l’espace « Art Sant Roch » jusqu’à l’automne. Il leur a attribué un nom et une identité. L’harmonie des pièces qui les composent leur donne une vraie crédibilité psychédélique.
M. M.
Le 3 avril, entre midi et 14h, au pied du Castillet, 200 manifestants sont venus rappeler aux décideurs leurs colères et leurs revendications. Ils ont, par la même occasion, distribué aux passants, nombreux, les tracts expliquant leur initiative. Un gros bataillon de la CGT, Solidaires et la FSU avaient appelé les leurs. Julien Berthélémy, de la CGT, prenait quelques instants la parole. Il rappelait l’exigence de l’abrogation de la loi « retraite », l’exigence d’embauches massives pour répondre aux besoins et des augmentations de salaire. Il fustigeait ensuite le retrait des fameux « 10 % ! » en moins en cas d’absence maladie et n’oubliait pas, dans le contexte, de dénoncer les milliards prévus pour préparer la guerre.