LE TRAVAILLEUR CATALAN

©Delge

Que dire de la primaire populaire qui s’est déroulée le dernier week-end ?  Quand ça ne veut pas ? Dur dur de croire, de faire croire que ça va le faire, que l’unité va sortir d’un miracle que personne ne souhaite, ou si peu. Pour des convaincus du progrès, des assoiffés de justice et de transformations sociales, ce qui est commun devrait être plus fort que ce qui divise.

Eh bien, non ! Chez quelques-uns, la primauté de l’esprit partisan, l’hypertrophie du moi, sans équivalent bien sûr, autorisent toutes les audaces, particulièrement celle de croire qu’on est l’unité, de décider qui y aura droit, d’exclure (Roussel) ceux qui n’ont rien demandé. Les pistes sont encore plus brouillées… Mais c’était fait pour ça, voyons !

On peut compter sur l’heureuse élue Taubira (divine surprise !) pour qu’elles le restent. A moins que l’électorat populaire (sans guillemets) s’en mêle.

JMP

 
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