LE TRAVAILLEUR CATALAN

Militants et amis ont partagé un beau moment festif.

Quelque 200 communistes et sympathisants se sont retrouvés dimanche 3 avril pour un banquet fraternel de soutien à Fabien Roussel.

C’est autour d’un banquet convivial et fraternel pour participer au financement de la campagne de leur candidat Fabien Roussel  que les militants communistes ont marqué un temps de pause, entre deux tractages, collages ou réunions. Accueillis chaleureusement par Édith Pugnet, maire de Cabestany, qui soulignait avec conviction le sens de la démarche du PCF : « Il était temps de l’avoir ce regain d’espoir, cette force qui nous porte et qui nous fait exister !

» Puis Jean Vila, président du comité de soutien à Fabien Roussel insistait sur le dynamisme de cette campagne présidentielle dans notre département, appelant les militants à intensifier leurs actions auprès des électeurs « qui n’ont pas à ce jour fait le choix de leur vote », ou qui, « déçus, ne veulent pas se déplacer et pire, s’apprêtent à voter pour l’extrême droite à en croire les sondages ». Dénonçant avec force l’action d’Emmanuel Macron : « le bilan des promesses non tenues…son bilan, c’est surtout celui de la finance, ce monde qui nous gouverne.

Les entreprises du CAC 40 ont doublé leur patrimoine, leurs bénéfices ces dernières années. » Pour Jean Vila, Fabien Roussel « c’est le candidat qui dénote, c’est la voix de tous ceux qui sont victimes de la politique menée par Macron. Celui qui porte avec son programme l’espoir du changement pour le monde du travail, des retraités, des chômeurs, sans oublier les P.M.E., commerçants et artisans ». Une minute de silence fut ensuite proposée par Michel Coronas, responsable du comité de soutien « pour les victimes de la guerre en Ukraine et toutes les victimes des conflits dans le monde entier…pour nous tous les réfugiés se valent et doivent être traités avec la même dignité ».Ceci dit, « l’apéroussel » et le repas qui suivirent furent beaucoup plus bruyants, tant la joie de se retrouver enfin réunis était palpable…

Evelyne Bordet

 
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