« Nous n’avons plus les moyens de faire correctement le travail. Et l’urgence, pour les allocataires et les usagers, n’est pas un vain mot dans le domaine des allocations familiales », précisent ainsi les syndicats CGT et FO de l’établissement. Les manques de personnels (9 postes manquent à l’appel), un système informatique inadapté, les bugs successifs, le surtravail chronophage sont évoqués, qui engendrent des retards non supportables dans le traitement des dossiers. Enfin, la mise en place de « la réforme des APL » depuis janvier est aussi mise en cause.
M.M.