Coup d’État en Birmanie
Aung San Suu Kyi, icône déchue. La présidente birmane de facto est restée profondément nationaliste et a toujours défendu l’armée face aux accusations de génocide des Rohingyas. Lors de sa détention en résidence surveillée, Aung San Suu Kyi l’assurait : « Les dictatures ne sont pas éternelles. » Las, à la faveur de ses errements et de la fragilité …