LE TRAVAILLEUR CATALAN

Une cinquantaine d’Illibériennes et Illibériens se sont rassemblés sur le parvis de leur hôtel de ville lundi pour dire stop aux violences, à toutes les violences commises ces jours derniers en France. « Soutien aux maires agressés plus ou moins récemment, aux agents des services publics » dira le premier magistrat de la commune et d’ajouter « justice et transparence à propos des événements qui ont conduit à la mort d’un jeune homme de 17 ans ». « On peut comprendre la colère, la déception, le sentiment d’abandon, mais rien ne justifie de s’en prendre aux élus de proximité et à leur famille. Rien ne justifie de brûler la voiture de quelqu’un de son quartier, l’école, les bus que ses voisins empruntent pour aller travailler. Où que l’on soit né, où que l’on habite, quelles que soient notre condition sociale, nos convictions philosophiques et religieuses, nous devons respecter la République et la République doit nous respecter. » conclura Nicolas Garcia maire de la commune.
 
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