Ils étaient encore nombreux vendredi dernier devant le magasin Brico-Dépôt. Une heure de débrayage dans le cadre du mouvement national, Casto et Brico, pour appuyer les négociateurs et les syndicats dans leurs discussions avec la direction générale. Localement quelques problèmes particuliers s’ajoutent aux questions salariales. L’exemple du « drive », nouvellement mis en place : « Nous sommes passés de 20 clients par jour à 80 (500 par semaine). Nous étions trois pour préparer et conditionner les commandes, et nous sommes toujours trois. Nous travaillons en courant et les délais d’attente pour les clients s’allongent d’autant plus. Les risques d’accident sont bien présents ». À ce jour, les négociations sont en cours.