Le pouvoir a envoyé partout où il est ses chiens noirs pour essayer de briser la force du mouvement populaire. Certes, il peut essayer de jouer sur le réflexe de peur ici et là mais la vague de fond est bien installée qui peut faire penser au meilleur de cette imagination créative des grands moments de lutte.
L’histoire n’est pas un une mitrailleuse de nouvelles à répétition sur une cible en cercle. C’est un mouvement où le meilleur peut l’emporter et donner à l’avenir un air de promesse de bonheur partagé. Comme le disait une pancarte manifestante, histoire de reprendre au bond les formules de la macronie, “le peuple est en marche”. L’important, c’est qu’il se donne les moyens de tenir le temps et la distance.
C’est sa maturation qui fera perdre les barons de la finance qui devront enfin, comment dire ? CASQUER ! Ils ne peuvent indéfiniment voler l’argent public et demander à ceux qu’ils ont volé de se serrer la ceinture avant de finir plus tôt que prévu dans une petite boîte en sapin…