LE TRAVAILLEUR CATALAN

© Jean Pouech.

Beaucoup de monde samedi après-midi sur le parvis du théâtre de l’Archipel. Borja Sijà et son équipe avaient invité leur public et toutes celles et ceux qui se sentent concernés par le devenir de la structure à se retrouver pour dialoguer et échanger les souvenirs des grands moments  vécus sous les voûtes du Grenat ou du Carré.

Sur l’immense paroi de verre messages, dessins, collages fleurissaient.

Humour, poésie, colère…De toutes les façons, les présents disaient leur incompréhension face à l’interminable fermeture des lieux culturels, leur impatience de pouvoir en reprendre le chemin. Roselyne Bachelot en prenait pour son grade. Des artistes et intermittents exprimaient leurs revendications comme leur détresse.

Une belle et utile initiative qui met en lumière la place et le rôle de la culture dans la cité.

 
Cet article est en lecture libre. Pour avoir accès à l'ensemble du site, merci de vous connecter ou vous inscrire

ARTICLES EN LIEN