LE TRAVAILLEUR CATALAN

Les débats sur la fête

Vendredi 30 juin

18h – Inauguration de la fête en présence de Léon Deffontaine, nouveau porte-parole national du PCF et ancien secrétaire national des Jeunesses communistes.

Samedi 1er juillet  

A l’Agora

12h – Présentation de la semaine de la Paix qui aura lieu en septembre par Michel Coronas (PCF66) et Hervé Bégué (association « Cultures de paix »).

15h30 – Quel tourisme dans les P.-O. ? Peut-il être social et écologique ? Débat animé par Aude Vivès, conseillère départementale déléguée au tourisme, David Berrué, militant écologiste, porte-parole EELV 66, Hélène Pons-Gralet investie dans le tourisme rural et Nadine Pons, conseillère municipale, membre de la commission environnement du PCF66.

18h – Quels débouchés pour les luttes aujourd’hui ? Débat .

Au stand du Vallespir

16h30 – Quelle politique des transports ? 

Avec Didier Le Reste, président de la Convergence nationale Rail.

 Au stand des Albères/Côte Vermeille

17h – Situation internationale : un défi pour la paix. Débat animé par Jean Solbes, ancien conseiller à l’ONU, spécialiste des questions américaines, en présence du Mouvement de la Paix 66, du MRAP66.

Guerre en Ukraine, tensions en Asie, dans les Balkans, en Afrique, au Moyen-Orient.

Rôle de l’OTAN, de l’ONU. Alignement de la France. Forte hausse des budgets militaires. Comment trouver les conditions de la paix ? 

La librairie de la fête

Samedi 1er juillet à 17 heures, les auteurs suivants présenteront leurs ouvrages, suivra un débat avec le public.

Katia Seus-Walker :
« L’exode, Ella à la rencontre des Républicains espagnols »,
éditions Bau-delaire.

Fille et petite fille de Républicains espagnols, se rendant pour la première fois à une commémoration de la Retirada, Ella va peu à peu, au gré des souvenirs qui remontent, des témoignages qu’elle re-cueille, des rencontres, revivre les moments tragiques qu’ont vécu trop de femmes, d’hommes, d’enfants.

Georges Chaluleau :
« Couiza 1939, le camp oublié des Espagnoles » ,
Balzac éditions

Le camp de Couiza est réservé exclusivement aux femmes et enfants de moins de 15 ans. L’objectif de ce récit est de rendre hommage à ces 600 femmes et enfants qui y vécurent l’enfer entre février 1939 et avril 1940.

Roger Hillel :
 « Tout ça pour ça »,  éditions Cap Béar

L’auteur évoque 60 années de militance communiste de 1960 à 2020, une succession d’étapes menant des certitudes aux doutes puis aux découvenues et aux désillusions. Un parcours personnel mais aussi l’occasion de revivre les moments importants de notre histoire.

Philippe Stierlin :
« Mortel sourire », éditions Arcane 17

 Ce livre recèle tous les ingrédients du polar, plusieurs morts inexpliquées qui, au fil de l’intrigue  s’avéreront liées. Le roman se situe en pleine pandémie COVID, il permet d’introduire un sujet qui, visiblement, tient à cœur à l’auteur, les pratiques douteuses, voire mafieuses, des grands groupes pharmaceutiques.

Daniel Hernandez :
« Le vin des César », éditions Noir Austral

L’auteur a choisi pour décor le massif de la Clape et le village d’Ouveillan cher à son cœur. Sur le terroir avec lequel jadis les Romains implantèrent les premiers vignobles de la Narbonnaise, le commissaire catalan Jepe Llense et son compère José Trapero, déploient toutes leurs astuces pour retrouver le responsable de l’attentat commis contre un négociant emblématique et sa maîtresse.

Merci à la librairie Renaissance de Toulouse présente à la fête.

 
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