Cabestany

La Saison culturelle de Cabestany clôturera sa programmation 2024-2025 en beauté avec « El Rapatell » ! Rendez-vous les 24 et 25 mai.

Édith Pugnet, maire de Cabestany, précise le sens de cette manifestation : « la culture, c’est l’ouverture au monde. C’est remettre de la poésie dans nos vies, se donner l’opportunité de réfléchir ensemble et c’est aussi éveiller la curiosité… En ces périodes sombres et anxiogènes, le festival El Rapatell est une porte ouverte sur la compréhension du monde et sur le bleu du ciel. Véritable travail collectif et participatif, ce festival est un projet de territoire qui se veut l’espace d’expression des artistes, mais aussi de rencontre des habitants. Je remercie sincèrement tous les bénévoles qui s’engagent à nos côtés pour faire de cet évènement culturel un temps festif et de partage ».

Cécile Dupuis, DGA Services à la Population, répond à quelques questions. 

El Rapatell ? Que signifie cette expression ? Pourquoi l’avoir choisie ?

Nous avons choisi ce nom issu d’une expression catalane un peu francisée ! EL RAPATELL DEL SOL, ce qui veut dire « le petit coin où l’on se réchauffe au soleil » pour nous cela signifie l’endroit où l’on se réchauffe le cœur, l’endroit où on a envie d’être.

Quels sont les temps forts de l’édition 2025 ?

Pour l’édition 2025, nous proposons deux journées de spectacles avec la présence de compagnies de la région. Ce sont 13 compagnies qui se produiront sur plusieurs sites pour proposer des spectacles gratuits tout public. Le parc Guilhem sera le poumon du festival avec son espace détente où il sera possible de se restaurer.

Soulignons un spectacle le samedi soir très grand public d’une compagnie espagnole avec la pratique de la discipline du trampoline peu courante dans les arts du cirque. 

Comment les habitants sont-ils associés au déroulement de ce festival ? 

Les habitants sont investis en tant que bénévoles sur les différents postes : buvette, accueil public, accueil et hébergement des compagnies, sécurité. Les enfants du centre de loisirs ont aussi été sollicités pour créer une signalétique dans les rues de la ville. 

Propos recueillis par Evelyne Bordet