Agnès Bihl, chanteuse, compositrice et interprète est appréciée de tous les passionnés de la chanson française inspirée par nos immortels, Georges Brassens, Jacques Brel, Léo Ferré, Jean Ferrat, Allain Leprest, Anne Sylvestre et tant d’autres. Elle vient de nous concocter un recueil de 17 pirouettes « les Unijambistes ne courent pas les rues », sous forme de nouvelles, qui feraient baver d’envie tous les trapézistes de la langue française.
Elle provoque le rire à partir d’un travail de détournement espiègle autant que vertueux de l’expression populaire, emportant ainsi à la déchetterie les vapeurs nauséabondes d’un espace médiatique crasseux qui voudrait nous réduire au silence des agneaux.
Agnès Bihl a déjà commis quelque 200 chansons et fait le tour de France dans tous les sens d’une montre qui ne s’arrête jamais. Elle peut faire rire le cheminot et le mécano autant que l’agriculteur et le professeur ainsi que l’infirmière et la crémière qui reconnaîtront en elle une collègue capable de dérider le plus dépressif d’entre nous.
Capable de provoquer l’arc-en-ciel que les prédateurs de la planète ne pourront jamais nous voler, elle nous en fait voir de toutes les bonnes couleurs d’une vie où le rire sait se partager jusque dans les recoins de nos intimités.