Eau :
Protéger notre bien commun
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MobilitésMobilités
Attention, danger ! Attention, danger !
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Journal gratuit d'information - N°1 - juin 2023Journal gratuit d'information - N°1 - juin 2023
Pour
un avenir
solidaire
pouvoir d'achat
Retraites,
Pour des jours heureux dans la communauté urbaine de Perpignan Méditerranée
l'Édito
L'agglo ensemble / Dossier sur l'eau
Eau potable
EAU
Les enjeux
. Proposition communiste
Risque d'explosion des prix
. Dans le contexte de la renégociation de
la gestion privée
Action de nos élus
. Lettre au préfet
Un pôle public
pour un bien commun
Laccès à l’eau potable est un enjeu mondial et
national. Dans le monde, plus d’un milliard de
personnes n’ont pas accès à de l’eau potable.
300 000 enfants de moins de 5 ans en meurent
chaque année et 80% des eaux usées sont rejetés
dans l’environnement sans aucun traitement.
En France, dans notre département, plusieurs com-
munes ont déjà été privées d’eau potable depuis
l’automne dernier. Nous sommes en alerte crise sur
les bassins de la Têt et de l’Agly. Le territoire de l’ag-
glomération de Perpignan est directement impacté car
très dépendant de la ressource hydrique issue de ces
vallées.
Et cela ne va pas s’arranger. L’impact du réchauffe-
ment climatique lié à notre activité humaine et notre
mode de vie sont et seront des facteurs majeurs dans
la gestion de cette ressource vitale.
Alors que peut-on faire ?
Les enjeux environnementaux et économiques de ce
bien de première nécessité imposent une gestion pu-
blique loin de la recherche prioritaire de profit finan-
cier. Comme le propose le Parti communiste français,
nous devons mettre en place un pôle public de l’eau
avec une gestion opérationnelle, démocratique et dé-
centralisée à l’échelle des bassins versants.
Financé à la fois par des fonds publics, mais égale-
ment par des prélèvements sur les profits des mul-
tinationales de l’eau, seule une structure de ce type
peut créer les conditions financières, techniques et
de ressources scientifiques et humaines pour assurer
l’équité territoriale de l’accès à l’eau.
Contrôle des citoyens, réflexions sur les répartitions
et les usages des ressources naturelles sont indispen-
sables pour répondre aux enjeux qui sont devant nous.
Notre avenir en dépend.
En savoir plus :
. Linstauration d’une dérogation permettant l’arrosage de manière concertée des jardins familiauxindispensables
aux familles modestes qui en ont l’usage pour faire face à l’ination spéculative sur les produits alimentaires frais.
. Une enveloppe exceptionnelle pour les communes devant répondre à des situations d’urgence (fuites sur les
réseaux d’eau etc…)
. Une indemnisation destinée directement aux salarié.e.s dont les contrats de travail seraient aectés par la baisse
d’activité liée à la sécheresse.
Dans le même courrier, Jean-André Magdalou, maire dAlénya et président de l’ADECR, rappelle l’attachement des
communistes à la gestion publique de l’eau. Il est inacceptableque d’immenses prots puissent être prélevés par
des multinationales sur la gestion de l’eau qui est un bien commun de l’humanité.
En cette période de crise, l’association départementale des élus communistes
et républicains (ADECR) propose trois mesures immédiates :
Les élus communistes écrivent au préfet
Jean Vila, ancien maire de Cabestany et conseiller communautaire, le répète depuis
2011 à la communauté urbaine de Perpignan Méditerranée.
«
Pour la gestion de l’eau, il vaut mieux une gestion publique, en régie publique
communautaire. Ceux qui en ont fait l’expérience n’y ont trouvé que des avantages
: baisse des prix du m³, entretien des réseaux accéléré…
». Citons Montpellier, Bor-
deaux, Toulouse, Lyon et… Nice ! Ce n’est pas rien quand même.
La communauté urbaine a choisi malgré tout la gestion privée au risque d'une ex-
plosion du prix pour les usagers. L'appel d'offre arrive à son terme. Le 17 juillet 2023,
on saura qui de Véolia, La Saur ou Suez emporte le marché. «
Au 1er janvier 2024,
il n’y aura qu’un seul délégataire en Délégation de service public (DSP) pour l’en-
semble des 36 communes, et pour 12 ans
». Le cahier des charges (prix du m³, entre-
tien des réseaux, modernisation des stations d’épuration...) resterait assez précis,
nous dit-on. Sera-t-il respecté?
L'agglo choisit le privé !
A
Lutter,
rassembler
pour gagner
Les boulevards de Perpignan, puis de Céret et
Prades ont été parcourus par des dizaines de
milliers de grévistes et de citoyens pour dire non
au report de l’âge de départ en retraite à 64 ans.
Cette mesure et d’autres mauvais coups du
gouvernement Macron visent à diminuer les dé-
penses utiles pour la population.
Pendant ce temps les notions de rentabilité
financière envahissent et dégradent les condi-
tions de vie de tous : Santé, Maison de retraites
Petite enfance, Transports, Energie, Eau …
Elles détruisent notre environnement et sac-
cagent les ressources naturelles au bénéfice
d’une minorité de privilégiés qui s’accaparent
toujours plus de richesse.
La mobilisation, et les luttes sont utiles, sans
elles tout irait plus mal. Comment les rendre
gagnantes ?
Vous êtes nombreux à penser qu’un change-
ment radical s’impose, nous partageons cet avis.
Sans avoir une conviction sur un changement de
société, vous êtes aussi très nombreux à estimer
que plus de justice sociale et économique est
indispensable.
D’autres encore se souviennent des promesses
non tenues et ne voient pas comment changer
le cours des choses.
Les divisions que certains entretiennent en rai-
son de l’origine, du statut social, nous affaiblis-
sent.
Pour nous, communistes, l’urgence est de se
rassembler dans le respect de ces diversités
d’approches afin d’obtenir l’augmentation des
salaires et des pensions, reconquérir la sécurité
sociale et le droit à la santé, réimplanter en proxi-
mité les services publics, redonner des droits aux
salariés dans les entreprises et doter les muni-
cipalités des compétences et des moyens pour
répondre aux besoins des habitants.
Articuler mobilisation sociale, actions citoyennes
diverses et le moment venu rassemblements
électoraux pour soutenir des mesures débattues
et décidées ensemble nous paraît être une op-
tion efficace.
C’est notre conception d’un Front populaire re-
construit à la base, seul garant de l’avènement
de nouveaux jours heureux.
Michel Coronas, porte-parole du PCF66
Dans la période COVID,
le scandale des Mai-
sons de retraite du sec-
teur privé a révélé les
dérives de ce type de gestion où
la rentabilité passe avant la qua-
lité de service. La même logique
est à l’œuvre pour les crèches
et notamment les mini-crèches
aux conditions de gestion déro-
gatoires aux normes mais avec
un maxi tarif
pour les familles.
Un récent rap-
port de l’IGAS*
énumère pour
le secteur de la
petite enfance
les nombreux manquements
aux respects des règles d’enca-
drement synonymes de sécuri-
té et de qualité de prestations
pour les bébés et les tout petits.
Cette montée des dangers est
dénoncée par les organisations
syndicales. Elles y voient un
effet de l’accroissement de la
présence d’entreprises privées
dans le secteur, soit directe-
ment prestataires, soit gestion-
naires par décision de collec-
tivités publiques. C’est le cas
des communes de Perpignan
ou de Claira qui justifient leurs
décisions de confier au privé la
gestion de leurs établissements
pour réaliser des économies.
Mais lesquelles,
alors que 70%
du budget des
crèches concerne
le personnel ? Et
comment tolérer
l’accaparement
de fonds publics (CAF et collec-
tivités) par des intérêts privés
pour un service de moindre qua-
lité ? L’offre de service en ma-
tière d’accueil petite enfance est
insuffisante dans notre départe-
ment. Et pourtant, même la CAF
planifie la fermeture de la seule
structure qu’elle gère directe-
ment, rue Nature à Perpignan.
Rien ne l’y contraint légalement
si ce ne sont des critères de ges-
tion pour réaliser les fameuses
économies dont les familles et
les professionnels font les frais.
Et ce ne sont pas les annonces
de la Première ministre début
juin concernant la petite en-
fance qui y changeront quoi que
ce soit si ces orientations ne
sont pas remises en cause.
Agissons ensemble dans l’inté-
rêt des familles et des person-
nels pour stopper ces privatisa-
tions et fermetures contraires
au bien vivre des familles et des
tout petits.
* Inspection Générale des affaires sociales.
La mise en place de la ZFE doit être l’occasion de :
.
lancer
la gratuité des transports publics
sur le territoire de
la communauté urbaine.
.
remettre en service
les lignes ferroviaires
Céret/Perpignan
et Saint-Paul-de-Fenouillet/Rivesaltes.
Pour en savoir plus :
Depuis la toute première manifestation
du mois de janvier, le PCF66 se mobi-
lise aux côtés de l’intersyndicale dans
la lutte contre la réforme des retraites.
La proposition phare du PCF est d’ins-
taurer pour toutes et tous une retraite
à 60 ans et à taux plein, sans aucune
pension inférieure au SMIC. Contre la
loi antisociale de Macron volant aux
salarié.e.s deux ans de leur vie, le PCF
porte le projet d’une bonne retraite
avec de meilleures pensions et une
place nouvelle des personnes âgées
dans la société.
Pour en savoir plus :
Perpignan
Perpignan
Manifestation place Catalogne
Manifestation place Catalogne
-
-
6 avril 2023
6 avril 2023
L'agglo ensemble / Mobilisation sur les retraite
s
sL'agglo ensemble / La vie quotidienne
La loi Climat et résilience de 2021 impose aux communautés ur-
baines de plus de 150 000 habitants d’interdire la circulation des
véhicules les plus polluants dans une zone déterminée de son ter-
ritoire appelée Zone à faibles émissions (ZFE). L’agglomération de
Perpignan doit définir la sienne pour une entrée en vigueur en 2025.
Comment ça marche ?
Tout véhicule est doté, selon son âge, d’une vignette dite Crit’air.
Les plus visés par une interdiction de circuler sont les véhicules die-
sel mis en circulation entre 1997 et 2000 (Crit’air 5) et les véhicules
diesel entre 2001 et 2005 (Crit’air 4).
Selon les critères choisis, près de 17 % des véhicules actuellement
en circulation dans le département pourraient être interdits dans le
périmètre de la zone. Ce chiffre pourrait même atteindre 42 % si les
critères sont encore plus sévères et concernent aussi les véhicules
essence mis en service entre 1997 et 2005 (Crit’air 3). On parle là
de quelque 120 000 véhicules !
Les communistes des Pyrénées-Orientales ne sont pas contre une
ZFE. L’objectif est de «
lutter contre l’émission de particules fines
»
qui provoque «
40 000 décès par an en France
», rappelle Michel
Coronas, porte-parole du PCF66. Ils réclament cependant une large
concertation. Les usagers sont les premiers concernés : Perpignan
concentre un grand nombre de services publics (administrations,
hôpital…) dont l’accès ne saurait être limité. Les syndicats aussi
ont leur mot à dire car des salariés privés de véhicule pourraient se
trouver dans l’impossibilité de rejoindre leur lieu de travail.
En outre, l’aide financière individuelle accordée par l’Etat pour le
changement de véhicule est jugée «
insuffisante
» et doit être aug-
mentée. «
Le reste à charge est insupportable
» pour de nombreux
foyers.
Mobilités :
attention, danger !
Des automobilistes risquent de se voir interdire l’accès à la ville de Perpignan.
Deux propositions des communistes
Crèches : des villes privatisent
La CAF menace
de fermer
sa crèche
L’intérêt des familles et des tout petits soumis aux critères de gestion.
« Les salariés attachés à un front uni »
Le secrétaire départemental de la CGT, Julien Berthélémy, revient sur le mouvement social.
Quelles leçons tires-tu du succès des
mobilisations ?
Pour la CGT, le bilan est extrêmement positif,
même si nous n’avons toujours pas gagné
le retrait de la réforme. Nous avons vu des
milliers de salariés, de jeunes, de retraités
se mobiliser autour des organisations syn-
dicales, déterminés à gagner le retrait de la
réforme. Cela démontre combien les salariés
sont attachés à un front syndical uni, au-de-
là des étiquettes. Surtout parmi les salariés
qui ne sont pas organisés dans leurs entre-
prises.
Sur les cinq premiers mois du conflit, nous
constatons une vraie adhé-
sion aux idées et valeurs de
la CGT, par exemple sur la
retraite à 60 ans, qui s’est
traduit par l’augmentation
du nombre de nos syndi-
qués. Plus de 150 depuis
janvier, du jamais vu !
Au-delà de cela, c’est une
colère qui s’exprime, pour
l’emploi, l’inflation et l’aug-
mentation des salaires, en
opposition à la politique du
gouvernement qui n’écoute
pas le peuple qui s’exprime
et qui sert uniquement le
grand patronat. Les salariés
ne sont pas dupes et voient très bien le coût
de la vie qui augmente, le gel des salaires
tandis que dans le même temps, les entre-
prises du CAC 40 engrangent des bénéfices
records.Ce mouvement a vraiment replacé
la CGT au centre du mouvement social et a
redonné de la crédibilité au mouvement syn-
dical malgré quelques tentatives pour nous
présenter comme des freins au développe-
ment économique du pays.
Quelle est la proposition de la CGT ?
Nos propositions sont simples, c’est la re-
traite à 60 ans pour toutes et tous et à taux
plein. Cette revendication est largement at-
teignable, il suffit d’aller chercher l’argent où
il est. Il faut bien comprendre que ce n’est
pas l’impôt qui finance les retraites, c’est
le salaire par les cotisations sociales. Il faut
donc l’augmenter et arrêter les exonérations
de cotisations sociales.
Ensuite, on doit gagner
l’égalité salariale entre les
femmes et les hommes,
28% d’écart est tout sim-
plement inacceptable. Cela
rapporterait environ 6
milliards d’euros dans les
caisses de retraites. Enfin,
il y a la réduction du temps
de travail à 32h, cela crée-
rait 10 000 emplois dans
le département donc des
financements supplémen-
taires pour les caisses de la
sécu.
Chômage et pauvreté touchent dure-
ment notre territoire. Quel est le rôle
du syndicalisme dans un tel contexte?
La CGT s’occupe des revendications dans les
entreprises, mais milite aussi pour un chan-
gement de société plus juste, l’acquisition de
nouveaux droits notamment pour les salariés
les plus précaires et les travailleurs migrants
par exemple. C’est une condition sine qua
non pour combattre le système économique
capitaliste.
Ici, nous sommes aussi très inquiets de la
propagation des idées d’extrême droite qui
divisent le monde du travail et ne servent
en définitive que le capital. L’exemple des
parlementaires du Rassemblement National
qui votent contre l’augmentation du SMIC à
l’Assemblée nationale est particulièrement
parlant. La CGT66 restera fortement mobili-
sée sur l’ensemble de ces questions.
La retraite,
c’est 60 ans !
Le PCF66 dans la lutte
Julien Berthélémy
Gaz :
Champagne chez les
traders ! Les spéculateurs et
les marchands se gavent ( en
milliards d’euros) et nul ne le
conteste.
Les mesures qui, d’une cer-
taine manière, protégeaient le
consommateur, vont cesser le
30 juin. On peut s'attendre à
une flambée des prix attisée par
la spéculation d'entreprises qui,
pour l'essentiel, commercialisent
de l'énergie sans en produire le
moindre kilowatt.
L’électricité :
Les choses sont
un peu différentes. La France en
produit. Essentiellement EDF qui
produit plus de 85 % (nucléaire
et hydraulique), entretient et
modernise les réseaux, gère la
distribution. Nous pourrions
nous passer des marchés et des
spéculateurs. Mais voilà, le gou-
vernement sert les siens. Le pré-
sident des «
riches
», sous cou-
vert d’injonctions européennes
qui obligent à la «
concurrence
libre et non faussée
» sert ses
amis et ses soutiens.
En clair, EDF est mise dans l’obli-
gation d’acheter aux fournis-
seurs alternatifs (producteurs ou
non) tous les watts à un prix très
élevé. Ensuite, EDF doit céder à
bas prix aux marchands 25 % de
l’énergie électrique disponible.
Affaiblie des deux côtés. C’est un
racket !
Le Pdg lui-même s’en plaignait
vivement lors de son audition
au Sénat. Les communistes pro-
posent un pôle public unifié. Ils
ne sont plus les seuls.
Pour en savoir plus avec la
revue
Progressistes du PCF
:
L'agglo ensemble / La vie chère
Les super
prots
emballent
les prix
Irène n’y arrive plus. «
Hier, pour la
première fois, au moment de pas-
ser à la caisse du supermarché, j’ai
dû renoncer à plusieurs produits de
première nécessité pour ne pas dépasser
le budget que je m’étais fixé
», témoigne
cette perpignanaise.
À Perpignan, une ville parmi les plus
pauvres de France, et dans tout le terri-
toire de la communauté urbaine., de plus
en plus nombreuses sont les familles ou
les personnes isolées à revoir à la baisse
le contenu de leur charriot. Il ne faut pas
être sorti de Saint-Cyr pour comprendre.
Il suffit d’observer la valse des prix sur les
étiquettes.
Les produits laitiers par exemple. En un
an, ils ont augmenté de plus de 23 %1
Les légumes frais de 29,3 %. La viande
de 15,5 %. Et attention aux marques
des grandes enseignes réputées moins
chères : certains prix, là aussi, s’envolent
de manière vertigineuse. Pas étonnant
qu’à ce rythme, de plus en plus de
ménages voient leur alimentation se
dégrader.
Il faut ajouter à cette liste noire les prix
du carburant, du gaz, de l’électricité qui
plombent sévèrement les budgets des
familles.
Dans le même temps, la grande distribu-
tion bat des records de chiffres d’affaires.
43,9 milliards pour Leclerc, 42 milliards
pour Carrefour, 36 milliards pour Inter-
marché : un sacré podium pour l’année
2022 ! L’industrie agroalimentaire affiche,
elle, des marges que les experts qualifient
de «
records historiques
». Ces mêmes
experts sont formels : l’augmentation
des prix que le consommateur subit à
la caisse est essentiellement le fait des
méga-profits générés par ces résultats
faramineux. Ce ne sont en tout cas pas
les salaires des employé.e.s de l’agroa-
limentaire qui peuvent être pointés du
doigt : ils n’ont, eux, augmenté que de 3
% en 2022.
Le ruissellement, ce n’est pas pour de-
main !
(1) Données INSEE.
Que faire ?
Pour lutter contre une ination qui s’annonce durable, le Parti communiste
français propose notamment :
.l’augmentation du SMIC à 1 500€ net
.l’augmentation du point d’indice des fonctionnaires
.l'augmentation des minima sociaux et des retraites
.le blocage des prix pour les loyers et les produits de première nécessité
Pour en savoir plus :
L'agglo ensemble / Les prix de l'énergie
La jungle et les prots
Directeur de publication
:
Michel Coronas
Maquette :
Corinne Coquet
Une :
©
Corinne Coquet
Textes :
Michel Coronas, Pierre Serra,
Serge Bonnery, Michel Marc.
Illustrations :
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Michel Marc, Serge Bonnery.
Impression :
Imprimerie Salvador
33 bd.d’Archimède - 66200 Elne (France)
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en cours
L'agglo ensemble
Fédération du PCF 66
44 avenue de Prades - 66000 Perpignan
e-mail : laggloensemble@gmail.com
Pour suivre l’actualité
du Parti communiste français
. Dans les Pyrénées-Orientales : http://66.pcf.fr
. National : http://www.pcf.fr
(joindre un RIB)
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Journal gratuit
édité par la Fédération
du Parti communiste français
des Pyrénées-Orientales.
En se battant pour la qualité du service public, les gaziers de
GRDF se battent pour les usagers.
Ces derniers mois, ils étaient en grève sur le site de Perpignan.
Pour le service public, donc, mais aussi pour leurs retraites et
leurs salaires. Ils ont reçu le soutien des responsables de la
Fédération du PCF 66 et des élus communistes du département.
Le PCF66 au soutien des gaziers
Le 1er juillet, le tarif réglementé du gaz disparaît. Gare à nos factures !
30/06 - 01/07 202330/06 - 01/07 2023
GRUPO COMPAY SEGUNDO
Los Raskaï
Rouge
Fiesta Latina
LES NEGRESSES VERTES
Combo Pacheco
Rock’in Chair
Something Spécial
Route du littoral - Argelès/MerRoute du littoral - Argelès/Mer
01/07
30/06
Elne Elne
. Chez Cricri Bar - 04 68 22 34 89 - 55 route . Chez Cricri Bar - 04 68 22 34 89 - 55 route
nationale.nationale.
Perpignan Perpignan
. Le Travailleur Catalan . Le Travailleur Catalan
44 avenue de Prades - 04 68 35 63 64- 44 44 avenue de Prades - 04 68 35 63 64- 44
Estagel Estagel
. Caveau Pons Gralet . Caveau Pons Gralet
2 Bd Jean Jaurès - 04 68 57 23 83 2 Bd Jean Jaurès - 04 68 57 23 83
Saint-Paul-de-Fenouillet Saint-Paul-de-Fenouillet
. Mas Peyre . Mas Peyre
30 Av. Général de Gaulle - 06 18 70 62 24 30 Av. Général de Gaulle - 06 18 70 62 24
Collioure Collioure
. Café Sola . Café Sola
2 Rue de la République - 04 68 82 55 02. 2 Rue de la République - 04 68 82 55 02.
Points de vente
BilleerieBilleerie
Online :
https://my.weezevent.com/fete-du-travailleur-catalan-1
Vendredi
30 juin
Inaugurati Inaugurati
de la fête
Par Léon Deffontaines
Membre du Comité exécutif national
Porte parole du PCF